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Brèves réflexions |
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que de le comparer à d'autres régimes et de montrer sous forme de tableau quels sont les aspects et les niveaux d'une personnalité humaine qui sont engagés dans chacun de ces régimes. Cela t'épargnera de
lire des chapitres complets.... sachant que ta carrière de surfeur est bien engagée et exige de plus en plus de pratique. Voici donc les multiples niveaux et potentialités de l'être humain impliqués dans les différentes formes de travail. Des personnes s'y trouvent engagées dans tout leur être, du début à la fin du processus, d'autres que partiellement. |
Miss Salomé-Travail
rajoute un voile
et couvre encore plus sa belle nudité première
Niveaux de la personne engagés dans l'acte de travailler |
RÉGIMES DE TRAVAIL |
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(1) Un être humain....
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ESCLAVAGE (de 1 à 6) Tout l'être humain avec tout son potentiel d'action et le fruit de son travail est objet d'échange et de propriété tout comme une chose ou un outil. * |
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(2) Capable d'initiative et de décision....
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PATRONAT Cette fonction, la plus noble et la plus intéressante, est dans certains cas réservée et assumée par ceux qui exercent l'autorité. |
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(3) doué d'une force de travail.... (intellectuelle ou PHYSIQUE)
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SALARIAT Maître de sa personne, quelqu'un loue sa force de travail moyennant une rémunération à d'autres qui sont propriétaires de moyens de production (usine, machine, terre, etc.) |
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(4) Agit sur la réalité ambiante (personnes ou choses) et produit
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Action privée ou collective multipliée par l'outil et la machine |
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(5) UN BIEN OU UN SERVICE
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(6) Pour satisfaire des besoins.....
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Des plus essentiels aux plus artificiels |
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(a) ses propres besoins
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autosuffisance De 1 à 6 A se réalisent par et pour la même personne (ou les siens) |
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(b) OU LES BESOINS D'AUTRUI
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Échange des biens produits. Du troc à l'échange commercial en passant par l'artisanat |
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* Le propriétaire d'esclaves le moindrement avisé se doit de leur assurer le minimum vital à moins de devoir changer "son personnel" à chaque mois et ce n'est pas pour autant une justification du régime. |
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Ti-Gus, on y va pour un bilan ? !
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La tâche difficile d'inventer un bien à produire, un service à rendre ou un marché à ouvrir est déjà accomplie.
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Le salarié est dépendant de son employeur, de son bon vouloir et de sa compétence, pour gagner sa vie. |
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Le salarié n'a pas à investir dans les instruments de son travail |
Il se doit de poser les gestes que l'on attend de lui en fonction de l'œuvre finale. Peut fonctionner en deçà de son potentiel.
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Il reçoit un salaire fixe et régulier
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Lié le plus souvent à un horaire fixe. |
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Excellente alternative au chômage. |
L'intérêt pour le travail peut se réduire qu'à l'aspect rémunération |
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Gus, amuse-toi à jouer au sociologue et demande à tes copains s'ils préfèrent créer et inventer leur job ou en trouver un déjà inventé (par le gouvernement si possible) et où ils n'auront qu'à s'insérer... (Idéal: "un bon job, un bon boss") !!
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Un cas de MYTHOLOGIE MODERNE Dans le langage d'aujourd'hui, un peu à cause de certaines idéologies, le SALARIÉ en est venu à monopoliser le sens et le mot de TRAVAILLEUR. Bien des gens travaillent, mais l'usage courant leur permet de se coiffer du titre de travailleur que par condescendance, charité, lointaine analogie, dans un sens dérivé. L'honneur d'être d'authentiques travailleurs est réservé, comme un titre de noblesse, à ceux qui sont capables au moins de tenir un marteau, ...peut-être à l'occasion, une faucille....si on en trouve une...
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En tant que citoyen du vingt et unième siècle, Gus, il devrait être facile pour toi de déjouer les ruses du langage et d'identifier dans les couples suivants le VRAI TRAVAILLEUR , le travailleurs avec un grand T et le minable, avec un petit T, celui qui ne l'est que par condescendance, que par charité langagière.
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Col blanc |
Col bleu |
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salarié |
patron |
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Travailleur manuel |
Travailleur intellectuel |
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paysan |
Ouvrier |
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Travailleur d'usine |
artisan |
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Étudier à l'université |
Serveur chez Burger King |
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Travail rémunéré |
Travail non rémunéré |
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artiste |
plombier |
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Tout ceci, Gus, te montre bien comment le sens du travail,
avec le temps, en a pris un coup... et s'est voilé
jusqu'à ce que l'on ne sache plus trop qui travaille … qui ne travaille pas
du moins si on s’en remet à la langue courante.
SUITE Salomé-Travail continue son strip-tease inversé. Elle rajoute d’autres voiles qui finalement feront que l’homme ne sait plus trop pourquoi il travaille.
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Gus, les trois dernières étapes s’étant particulièrement développées ont fini par faire l’objet de site individualisé.
5. La révolution industrielle.
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